Pupille (2018)

Written by:

France
Réalisation: Jeanne Herry
Acteurs principaux: Sandrine Kiberlain (Karine), Gilles Lellouche (Jean), Elodie Bouchez (Alice)
Genre: drame
Durée: 107 minutes

J’ai éprouvé ce film plutôt long, bien qu’il dure seulement 1h47 et fait ainsi partie de la norme de nous jours, voir moins long (mais j’avoue que c’est probablement dû au fait que je devais vraiment aller faire pipi après une heure et demie de film — seule contraintes des séances sans pauses en France). En plus, on pourrait même associer la longueur du film à la procédure longue et parfois fastidieuse que peut être celui de l’adoption.

Car Pupille est un film qui documente, en fiction, l’histoire d’une adoption dès son début. Ou plutôt dès sa naissance, car on pourrait dire que l’histoire du bébé commence avec sa conception. Mais comme le bébé, le spectateur n’apprend pas de détails sur les parents, ni sur la grossesse.

Le film se concentre plutôt bsur les premiers mois de la vie du nouveau-né jusqu’au moment où il est adopté. De plus, l’appui est mi sur la procédure pour devenir candidats de parent(s) adoptif(s), sur le temps que cela met et le parcours émotionnel qui vient avec. Les difficultés que les services sociaux encontrent sont aussi mis à l’avant et on se trouve en quelques sorte „derrière les coulisses“ de la procédure d’adoption.

N’en sachant pas davantage sur l’adoption et sa procédure, j’ai personnellement apprécié ce film, grâce auquel j’ai l’impression d’avoir eu accès à une partie d’histoires personnelles et à une procédure administrative que je ne connaissais pas, ou pas bien, en tout cas.

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